(Attention, la suite est un rien grosse tête)
Depuis quelques temps déjà, je me refuse à lire les livres anglophones
traduits en français (ayé, je peux être taxée de Dame Melon).
J’ai découvert avec « Le Silence des Agneaux » que
c’était péché.
T’as pas envie de te faire un traducteur Jame ? |
Les traducteurs sont des gens douteux (peut-être sous la
coupe d’éditeurs, mais là n’est pas la question) qui font leur truc à la
truelle (le lecteur n’y verra que du feu) ou à leur sauce (aucun respect pour l’œuvre
originale) ou pire encore en tentant ridiculement de transposer la culture
américaine ou anglaise à la nôtre (et les notes du traducteur en fin de page, c’est
pour les chiens, bordel ?), car on le sait bien, le lecteur français sort
rarement de chez lui, n’a pas la télé et ne connait rien à rien en dehors de
son pays.
Un peu remontée, moi ? Allons donc !
Poursuivons.
Le truc cool à lire en anglais, c’est qu’on apprend tout plein de
nouveaux termes (le pendant négatif, c’est que je cherche des fois mes mots dans ma langue natale façon Van Damm. Damn !).
J’ai assez peu de mal à comprendre l’argot
américain (un an de vie au Minnesota et un amour profond et sincère à HBO m’ont
bien éduquée). En revanche, ça se gâte sérieusement dès que le livre est écrit
par un sujet britannique (les Rosbifs font jamais rien comme tout le monde).
Pour pallier à ma fâcheuse ignorance, j'use et j'abuse de ce merveilleux site : Urbandictionary.
Si vous brûlez de savoir ce qu’est un « vegesexual »
ou un « askhole » ou si vous pratiquez le « handshake rape »
sans le savoir, filez-y vite !
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