jeudi 28 juin 2012

La minute Pivot #2 : le sexy d’alors

En ce moment, je suis en plein trip Jane Austen.

Et louée soit Arte d’oser proposer des séries sur les mœurs de la bonne société anglaise du 18e ! Avouez que ça change agréablement des bouses télévisuelles actuelles.

Vu que je suis un chouïa obsessionnelle quand j’aime un truc (je rabâche, désolée !) et que je suis résolument pro-VO, j’ai évidemment fait un petit tour sur Amazon pour me procurer les films et puis trois petites bricoles en plus.

Well done BBC!
L'histoire est prometteuse : une jeune femme du 21e siècle qui se retrouve plongée dans l'univers d'Orgueil et Préjugés. On verra au visionnage !

Habituellement, je carbure plutôt aux excellentes séries que les ricains savent si bien ficeler (et dieu sait qu’on a l’embarras du choix en la matière : Dexter, The good wife, presque tout HBO, si si). Mais cela ne veut pas dire que je bats froid celles de nos amis rosbifs (ce n’est pas péjoratif, c’est amical). Sherlock (it’s obvious !) est la dernière pépite en date de la perfide Albion (mais si, j’aime l’Angleterre, qu’allez-vous chercher !). Et avant elle, Prime Suspect (voyez, je connais mes classiques). 

Mais revenons à nos moutons : comment diantre BBC a réussi le miracle de rendre passionnante et sexy ces histoires d’amour contrariées ? Comment filmer la retenue, la pudeur et des mœurs qui nous semblent extraterrestres sans atteindre le niveau zéro de l’ennui ?

D’abord, vous prenez cet acteur-là et la moitié du boulot est fait :

Je peux être l'eau de ton bain, Colin ?

Ensuite vous ajoutez :

- des paysages qui vous donnent envie de vous rouler dans la rosée,

Z'ont coloré l'herbe ou quoi ?

- quelques jolies robes (ah le style empire),

- des dialogues spirituels,
- des intrigues,
- et surtout des regards !

Colin Firth passe son temps à fixer sa partenaire à un point qu’on se demande s’il veut se la faire ou se la bouffer…

Hmm, avec une petite goutte de Worcestershire et un petit verre de Brandy...

Ceci étant, si vous n’êtes pas romanesque pour un sou, vous risquez de vous faire bien chier (ouais, on peut aimer Jane Eyre et parler comme un charretier).

Et puisque nous évoquons Jane Eyre, ça je l’attends avec la dernière impatience :

Michael Fassbender et Mia Wasikowska
dans une nouvelle adaptation de Jane Eyre.
Je rassure les fans hardcore du livre, non, cette photo n'est pas tirée du film (hélas !)


Sinon, ne me parlez pas de Keira Knightley en Lizzie, hein ! Elle n'a rien compris au caractère de son personnage.

mercredi 27 juin 2012

Jukebox mental du jour

Faudrait jamais regarder les vieilleries des années 80 sur la tnt... Je suis tombée sur Flashdance et de fil en aiguille et d'association d'idées (hélas, je suis excellente à ça), j'ai à présent ce morceau qui tourne dans ma tête :


Y'a un gros mieux tout de même : la semaine dernière c'était notre ex-première dame et son inénarrable "y'a quelqu'un qui m'a dit" qui ne voulait pas sortir de mon crâne.

Amélioration ?

Amélioration !

mardi 26 juin 2012

I pick things up, I am a collector. And things, well things, they tend to accumulate.*

* The collector, Nine Inch Nails

J’ai un tempérament d’écureuil.

Et franchement j’ignore si ça se soigne.

Je m’explique. Je marche à la passion… d’accord, le mot « lubie » serait plus approprié. Bref, je me découvre une marotte (Jane Austen, Charlaine Harris, les perles de rocaille… voyez, versatile en plus !) et là-dessus, je me mets en mode Scrat. Oui, en mode mono maniaque à tendance obsessionnelle et accumulatrice. Et puis, ben, bon, hum hum, je passe à autre chose.

Il me faut "Sense and Sensibility", c'est une question de survie !
 
Du coup, je croule sous les dvd à voir, les livres à lire (mémo à moi-même : réfléchir à un Kindle, ça prendra moins de place), les perles Toho. La décence en ces temps de crise m'interdit de donner une liste exhaustive.

Et, bien évidemment, j’ai de nouveau un petit quelque chose qui me rend dingue ces temps-ci, c’est les fils fluo (pauvre de moi).

Saviez-vous qu’il existait des fils à broder DMC aux délicieuses teintes qui rendent aveugle ? Et des pelotes de laines aussi ? Et des rubans super sympas ? Et de la doublure qui sera super avec du sweat gris chiné ?



Pourquoi faire ?

Mais là n’est pas le propos, voyons !

On pourra toujours y penser plus tard, à tête reposée.

C'est ça.

Par où c'est, les réunions des acheteuses compulsives anonymes ?

Lieux de perdition :




mercredi 20 juin 2012

Etsy me perdra #4 : little bird et ses chouettes colliers

Un beau matin, je suis saisie par l’absolu nécessité d’acquérir un collier fluo. Une petite virée chez Etsy plus tard, je tombe la boutique de Tati (birdienumnumshop) et sous le charme de ses créations sur-vitaminées.

Facile de voir le potentiel de ces colliers en jersey, à la fois originaux, faciles à vivre et chics.

Ni une, ni deux, je passe commande (veinarde que je suis, je bénéficie en plus d’une promo qui compense un peu le coût de livraison).

Notez qu’au dernier moment, mon envie de fluo se dégonfle piteusement et que j’opte pour du violet et de l’indigo, moins casse-gueule à porter.

Du violet pour réveiller mes hauts gris

De l'indigo parce que c'est beau (que dire, j'ai eu une nuit difficile)

Mon coup de cœur se confirme à la réception : les couleurs sont vibrantes, la matière douce et agréable sur la peau, l’effet sur un basique t-shirt épatant.

Alors, évidemment, je retourne de temps en temps chez Birdie… et il y a toujours autant de choses qui me bottent :

Un collier gris et vert fluo, 18,61 € (ah ça, on en bouffe du fluo actuellement, hein ! Mais par touche, ça secoue bien les tenues un peu sages)


Le « noodle », à entortiller autour de son cou pour avoir chaud, ou à porter en sautoir à 24,28 €


Le « padaung » un plastron qui, d'un coup de baguette magique rend n'importe quel haut intéressant et réchauffe les frileuses, à 33,99 €


 Et pour finir un bracelet aux couleurs péruviennes associées à du gris chiné, 7,69 €.



mardi 19 juin 2012

Un petit tour chez Asos

Asos et moi, nous avons une histoire d'amour contrariée.

J'ai commandé chez eux deux fois, et par deux fois, j'ai renvoyé mes commandes aussi sec (ce qui marche super soit dit en passant).

La première commande, c'était une cape en laine kaki. Finalement, je n’ai pas l’âme (ni la mise délicate) d’un petit chaperon militaire en goguette. Et il y avait aussi la question enquiquinante du sac : comment porter un sac bandoulière avec une cape ? Chiant comme la pluie.

La deuxième commande, il s’agissait d’une grosse parka bien chaude. Faut me comprendre, c’était pendant la période frisquette de février dernier et j’avais envie d’un manteau bien enveloppant. Résultat, c’était plutôt bien enveloppée que je faisais avec. 

Cependant je garde espoir : Asos et moi, un jour, on finira par se comprendre.

Surtout quand je vois ça :


La jupe, en revanche, c'est un non franc et massif

 Un collier effet marin avec les perles « african snake »… 2,72 € à ce prix là, on commande même si c’est du plastique, non ?

In the navy!
 
Le même plus coloré au même prix…

Color pride!
Des petites sandales en daim pour jouer à la squaw à 38,01 € :

En daim et toutes brodées !
  
 Un sac pour aller avec les chaussures (soyons folles à lier !) 67,88 € :


J'ai un peu de mal avec les sacs blancs par contre...
 
Une paire de boucles d’oreilles bien flashy : 6,11 € les vertes.

Du bling-bling fluo... mais qu'est-ce qu'on invente pas

 Une paire de ballerines à motifs géométriques : 14,93 € 

Sobres avec un twist

N’ayez crainte, je ne compte pas tout porter en même temps ! Quoique…

Mon modèle absolu en matière de mode (et de bibine) : Edina « Eddy » Monsoon